Passé 40 ans, on commence à sentir que le corps n’encaisse plus tout à fait comme avant. Une séance de sport mal préparée, et c’est la contracture assurée. Ou pire, la blessure qui traîne pendant des semaines. Alors si tu veux continuer à t’entraîner sans te flinguer le dos ou les genoux, investir dans le bon matos, c’est franchement pas un luxe.
Et je te parle pas d’avoir une salle complète à la maison. Juste du matériel bien choisi, adapté à ton âge, à tes objectifs et surtout à tes sensations. D’ailleurs, pour les équipements vraiment pensés pour la récupération et la prévention, jette un œil sur https://www.sam-sport.com : ils ont des solutions que j’ai testées moi-même (et qui m’ont évité de zapper trois semaines d’entraînement à cause d’un mollet qui tirait…).
1. Le rouleau de massage (ou foam roller) : ton meilleur pote post-séance
Tu veux récupérer plus vite et éviter les courbatures qui te font marcher comme un robot le lendemain ? Le rouleau de massage, c’est un incontournable. Franchement, 10 minutes après une séance, surtout sur les cuisses et le dos, ça change tout. J’étais sceptique au début, maintenant je l’embarque même en vacances.
Choisis-le assez ferme, mais pas trop dur non plus si t’es sensible. Et commence doucement, parce que les premières fois, ça pique un peu.
2. Des bandes élastiques (mais les bonnes)
Les bandes élastiques, c’est pas que pour les kinés. Pour nous, après 40 ans, elles sont super utiles pour bosser en douceur la mobilité, la force, les petits muscles stabilisateurs. Bref, ce que t’as tendance à zapper quand t’as 25 ans mais qui devient vital ensuite.
Perso, je les utilise pour l’échauffement, pour renforcer les épaules, ou même en complément sur des squats. Prends plusieurs résistances, ça permet de progresser sans te cramer.
3. Une paire de chaussures adaptée (pas celle achetée à l’arrache en promo)
Je vais être cash : à 40 piges, tu peux plus courir avec des semelles en carton. Une bonne paire de chaussures, adaptée à ta pratique (running, training, salle…), c’est non négociable. Tu protèges tes genoux, ton dos, et tu prends même du plaisir à bouger.
Le mieux ? Faire un test de foulée ou demander conseil en boutique spécialisée. Oui, c’est un budget. Mais clairement, c’est le genre d’achat que tu regrettes jamais.
4. Une ceinture lombaire ou une genouillère si besoin (mais pas n’importe comment)
Alors attention : je dis pas qu’il faut t’enrouler de scratch de la tête aux pieds. Mais si t’as déjà eu des douleurs récurrentes – genre lombaires ou genou fragile – ça peut vraiment sécuriser ton entraînement. À condition de ne pas en abuser.
Utilise-les en prévention ou pendant des phases plus intenses. Et surtout, combine ça avec du renforcement ciblé. Sinon, ça devient une béquille.
5. Un bon tapis de sol (et je parle pas d’un bout de mousse qui glisse)
Un tapis, c’est la base pour les exos au sol, les étirements, les séances de gainage. Mais là encore, évite le premier prix tout fin qui se transforme en savon dès que tu transpires un peu.
Il te faut un tapis antidérapant, avec une bonne épaisseur (au moins 6 mm), pour protéger les articulations. Et qui reste en place quand tu bouges. Le genre de détail qui peut paraître anodin, mais qui fait la diff sur la durée.
6. Des outils de récupération actifs : électrostimulation, pressothérapie, etc.
On entre dans le matos un peu plus technique, mais franchement, passé un certain âge, c’est pas gadget. L’électrostimulation (genre pour les cuisses après une séance de vélo), ou les bottes de pressothérapie, ça aide vraiment à limiter la fatigue et relancer la machine.
Tu peux trouver des modèles accessibles aujourd’hui, pas besoin de vider ton livret A. Et en bonus, ça te motive à reprendre plus vite.
Alors, qu’est-ce qu’on garde vraiment ?
Si je devais faire court : un rouleau, des bandes, de bonnes shoes, un tapis et un ou deux accessoires de prévention/récup. C’est pas du matos de pro, mais c’est pile ce qu’il faut pour bouger mieux, plus longtemps, et sans pépin.
Et toi, t’as déjà testé certains de ces équipements ? Ou t’as un truc qui a changé ta manière de t’entraîner après 40 ans ? Dis-moi, je suis curieux.